Le 18 juin marque le retour fracassant de Danny Boyle au cinéma avec 28 ans plus tard, suite directe de son chef-d’œuvre 28 jours plus tard sorti en 2002. Plus qu’un simple retour, le film s’impose comme une renaissance brutale et brillante du genre post-apocalyptique.
28 ans se sont écoulés depuis que le Virus de la fureur a ravagé le monde. Confinement, isolement, mutation : l’humanité tente de se reconstruire sur une île isolée et ultra-sécurisée.
Mais lorsqu’un habitant est envoyé en mission sur le continent, il découvre une vérité plus terrifiante encore : les infectés ont évolué… et il ne sont plus seuls.
La critique du film 28 ans plus tard est unanime : un chef-d’œuvre viscéral, aussi brutal que poétique. Danny Boyle parvient à réinventer sa propre mythologie, tout en la confrontant à un monde marqué par la pandémie réelle de Covid-19.
La mise en scène est tendue, nerveuse, organique. Le rythme ne laisse aucun répit, et les paysages dévastés renvoient à une humanité à bout de souffle.
Côté public, les avis sur le film 28 ans plus tard sont excellents. Les spectateurs saluent :
– Une réalisation immersive
– Un scénario intelligent, qui évite les clichés
– Des personnages marquants
– Et surtout : une tension constante, digne du premier film mais encore plus intense
Avec 28 ans plus tard, Danny Boyle signe l'une des suites les plus réussies du cinéma de genre. À la fois hommage et mise à jour, le film trouve un parfait équilibre entre héritage et modernité.
Verdict : si vous êtes amateur de cinéma post-apocalyptique, ne manquez pas ce film en salle. Brutal, poignant, visuellement époustouflant : 28 ans plus tard est une réussite totale.