PRESENTATION

« Vous devez surement vous demander ce qu’est Avantis.

Et bien Avantis n’est rien d’autre qu’une vision futuriste de notre monde dans 1600 environ… Une des nombreuses possibilités que notre futur nous réserve.

Avantis est à la frontière entre le monde réaliste et l’heroic fantasy.

J’ai mis un point d’honneur à justifier l’ensemble des mécanismes de ce monde par des procédés plus ou moins physique et possible, toutefois j’ai voulu lui donner une petite touche de mystique et de fantastique.

Ainsi, vous ne trouverez pas de magie à proprement parlé, mais on retrouve les notions de chakra, d’énergie spirituelle, mais aussi l’utilisation de la médecine douce ou encore l’éveil de nouveaux Sens…

Je vous laisse découvrir tout cela et bien plus encore, espérant que vous aimerez vous évader dans cet univers que je développe depuis 2002. »

Gilshyran

 

GENÈSE

Tout commença il y a 1600 ans…

Subissant de plein fouet les bouleversements climatiques, les humains se mirent à redouter l’avenir.

Après les nombreux tsunami, ouragans, tremblements de terres, inondations et désertifications, de grands changements démographiques s’opèrent.

C’était l’exode massif des populations littorales.

Alors qu’elle avoisinait les 11 milliards d’êtres humains, plus d’un tier de la population furent en exode climatique.

Des pays comme le Bangladesh, les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark,   mais aussi une bonne partie de la chine de l’Angleterre ou encore des Etats-Unis furent victimes de la montée des eaux dû à la fonte des glaces.

Petit à petit le climat géopolitique devint instable.

Le capitalisme connu ces dernières heures de gloire, entraînant dans sa chute une bonne partie des pays occidentaux.

Devant l’exode toujours plus massif des peuples vers des pays moins à risques, des murailles se formèrent autour des villes les plus prisées, la loi martiale fut instaurée dans de nombreux pays afin de répondre au désordre et au chaos.

De vastes dômes furent créés dans certaines mégalopoles afin de définitivement séparer leurs populations du reste du monde tandis qu’à l’extérieur des murs la nature reprenait ses droits. Les communications entre les pays devinrent de moins en moins nombreuses. Et très rapidement le terme même de pays ne voulait plus rien dire.

 

Pendant ce temps une « secte » du nom de Sol Hag fut créé par un généticien milliardaire du nom de Théodoro Tingar basée sur le principe du développement de l’esprit et du respect de la nature.

Cette secte avait comme originalité de vivre en totale autarcie dans un immense complexe souterrain quelque part en Amérique du Sud.

Elle attira de nombreux physiciens, mathématiciens et philosophes de par ces idées originales et avant-gardistes sur le développement de soi et le potentiel de notre cerveau.

Mais à la surface un nouvel âge n’allait pas tarder à arriver.

Alors que les immenses mégalopoles étaient protégées par leurs dômes, à l’extérieur les gens mourraient de faim, les infrastructures tombées en ruines, y compris les centrales nucléaires.

C’était devenu l’âge du Grand Cataclysme.

Certains racontèrent qu’il y eu une guerre engendrée par les peuples délaissés qui attaquèrent certains dômes en utilisant des armes bactériologiques et nucléaires.

D’autres racontèrent que les peuples peu préparés au Grand Cataclysme connurent de grandes famines et de graves maladies.

Certains racontèrent même qu’il y eu la main de Dieu qui s’abattit sur la Terre afin de punir l’Homme de ses nombreux péchés.

Et un jour, bien des années après le grand cataclysme les “Premiers marcheurs” sortirent de la citerraine…

Personnes sur cette terre ne peut raconter avec exactitude les faits qui ont eu lieux avec le Grand Cataclysme, mais une chose est sûre désormais, il est de notre devoir en temps que survivants de notre espèce de vivre en gardant le souvenir du Grand Cataclysme afin de ne pas faire les mêmes erreurs. Comme le dit le Sol Hag ; nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres mais nous l’empruntons à nos enfants.

(Journal d’un membre anonyme de la secte du Sol Hag)

 

Article rédigé par Shepard