Le visage bien connu de Stitch refait surface dans une mise à jour de taille. Call of Duty Black Ops 6 et Warzone franchissent un cap avec leur saison 4, marquant un retour inattendu, des cartes inédites, des modes revisités et une série de contenus explosifs. Voici pourquoi cette saison pourrait bouleverser l’expérience de jeu.
Stitch libéré : un retournement qui relance la guerre de l’ombre
Longtemps considéré comme un ennemi neutralisé, Vikhor “Stitch” Kuzmin n’a jamais été éliminé. Confiné en secret par Adler dans une prison glacée d’Islande, il devient aujourd’hui une pièce maîtresse dans la course contre le Pantheon. La saison 4 s’ouvre sur sa libération — une opération qui sert de fil rouge à une série de nouvelles cartes et missions haletantes.
De nouvelles cartes multijoueur aux scénarios tendus
Le multijoueur s’enrichit de quatre nouvelles cartes, dont deux inspirées directement de la mission d’évasion de Stitch :
- Shutdown : Un assaut sur un barrage islandais où chaque recoin peut se transformer en champ de bataille.
- Fugitive : L’évasion en elle-même, dans une prison gelée, entre alarmes hurlantes et combats dans les cellules.
- Blitz : Une embuscade tendue sous un pont alors que le Pantheon fonce vers le site d’évasion.
- Eclipse (mi-saison) : Un décor surprenant dans une boîte de nuit, où Stitch semble jouer une partie bien plus complexe qu’un simple retour.
La carte Fringe, nostalgie garantie pour les vétérans de Black Ops 3, revient également dans une version retravaillée.
Des modes compétitifs et déjantés pour renouveler le gameplay
Call of Duty mise sur la variété avec une série de nouveaux modes dès le lancement ou en cours de saison :
- Team Elimination : Moins de vies, plus de stratégie. Chaque élimination pèse lourd.
- Une balle chargée : Trois vies, un tir, un couteau. Un classique de la tension signée Black Ops.
- Party Ops : Des mini-jeux en rafale pour casser le rythme habituel et surprendre les joueurs.
Le retour du mode Zombies compétitif : tension maximale
La saison 4 relance Lutte, le mode compétitif zombie en 4c4. Soutenez soit S.A.M., soit Richtofen, et survivez à des vagues infernales tout en contrant une équipe adverse en PvPvE. Ajoutez à cela :
- Une nouvelle modification de munitions : Shatter Blast, qui explose au contact.
- Trois GobbleGums inédits, dont Rainburps et ses bulles arc-en-ciel explosives.
- Une nouvelle arme à fabriquer : la Faucheuse, pour décimer des hordes entières.
Warzone : The Overlook et des modes XXL
La carte de Warzone s’agrandit avec The Overlook, un gratte-ciel en construction offrant des affrontements verticaux inédits. Trois modes à durée limitée secouent aussi la formule :
- Clash : Deux équipes de 52 joueurs, sans cercle réducteur. Le chaos pur.
- Havoc Royale : Des modificateurs aléatoires transforment les règles du Resurgence.
- Resurgence Casual : Un mode plus accessible intégrant bots et vrais joueurs.
Des armes et équipements pour varier les approches
La saison 4 introduit plusieurs nouvelles armes :
- LC10 et FFAR 1, à débloquer via le pass de combat.
- Des armes spéciales en événements, dont Olympia et Essex Model 07.
- Nouveaux accessoires et conversions d’armes pour affiner son gameplay.
En prime, le retour de la Faucheuse comme série de points vient couronner l’ensemble.
Passe de combat et boutique : Stitch en vedette
En achetant le passe de combat, les joueurs débloquent immédiatement le skin Supermax pour Stitch et peuvent gagner jusqu’à 1100 Points COD. La boutique s’enrichit également de packs visuellement marquants comme le Tracer Pack : Ink and Smoke en cel-shading.
Stitch, l’homme à surveiller dans Call of Duty Black Ops 6
Avec la saison 4, Call of Duty Black Ops 6 et Warzone ne se contentent pas d’ajouter du contenu : ils réécrivent l’histoire d’un personnage clé tout en offrant une diversité de gameplay sans précédent. Stitch, autrefois ennemi, devient aujourd’hui un levier narratif et stratégique central. Les cartes, les modes et les armes à débloquer laissent présager une saison aussi dense qu’électrisante. Ceux qui pensaient avoir tout vu n’ont encore rien vu.
