Lourde est la tête qui porte la couronne ; une première extension pour le jeu de stratégie acclamé par la critique

Paradox Interactive annonce aujourd’hui The Royal Court, la toute première extension de Crusader Kings III. Être roi, ce n’est pas seulement faire ripaille et livrer bataille. Plus les courtisans sont nombreux, plus lourde est la couronne. Vassaux et sujets exigent constamment des audiences, des pétitions finissent toujours par trouver le chemin de la salle du trône, sans parler des heures passées à décorer les pièces du palais. Chaque seigneur gouverne à sa manière.

 

 

Dans Crusader Kings III: Royal Court, les joueurs feront face à de nouveaux défis à mesure que leurs courtisans réclameront leur précieuse attention. Les seigneurs les plus influents attireront troubadours et ménestrels, décoreront leurs halls avec des reliques familiales, et apporteront des réponses aux nombreuses suppliques de leurs sujets.

 

  • La salle du trône – Une représentation visuelle de la cour qui reflètera la majesté et le prestige accumulés par la dynastie du joueur.

  • Siéger à la cour – Vassaux et courtisans viendront quérir l’aide de leur seigneur pour régler leurs problèmes ou pour solliciter un jugement.

  • Une cour grandiose – De magnifiques ornements et de la nourriture à foison : de quoi susciter jalousie chez les rivaux du seigneurs et admiration chez ses invités de marque.

  • Des sujets inspirés – Les artistes, artisans et penseurs les plus talentueux du monde connu pourront travailler sur de nouveaux projets et enrichir la cour du joueur de trésors et de reliques.

  • Des royaumes multiculturels – Le brassage des populations sur de larges zones géographiques contribuera à créer des cultures hybrides.

  • Adopter une nouvelle culture – Il sera parfois nécessaire d’essayer quelque chose de nouveau pour assouvir ses ambitions.

 

Cette extension sera accompagnée d’une importante mise à jour entièrement gratuite qui ajoutera des postes à la cour pour les courtisans, une nouvelle interface culturelle, et bien plus encore.

Article rédigé par Shepard