Image de l'article Call of Duty: Black Ops 7 - la bêta déjà envahit de tricheur
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Call of Duty: Black Ops 7 vient à peine de lancer sa bêta fermée que l'on assiste déjà à un désastre : la communauté est en ébullition face à la prolifération alarmante des tricheurs. Alors qu'Activision promettait une sécurité renforcée, des clips vidéo explosifs montrent des joueurs utilisant ouvertement aimbots et wallhack. Est-ce le signe d'un échec cuisant pour le nouveau système anti-triche, même avant l'ouverture de la bêta pour tous le 5 octobre ? 

 

Les Cheaters envahissent Call of Duty: Black Ops 7 - un départ chaotique

Le lancement anticipé de la bêta Black Ops 7 devait être une fête. Malheureusement, l'ambiance a vite tourné au cauchemar. Des joueurs ayant pu accéder à cette phase de test dès le 2 octobre, ont rapidement inondé les réseaux sociaux de preuves accablantes. Il n'a fallu que quelques heures pour que des tricheurs s'approprient les lobbies, affichant une impunité déconcertante.

Cette situation est d'autant plus frustrante que les joueurs de Call of Duty subissent depuis des années une véritable épidémie de triche qui nuit gravement à l'expérience multijoueur. Les vidéos partagées, montrant des wallhacks et des tirs parfaits via aimbots, sont un coup de poignard pour la base de fans. Face à la polémique naissante, des bannissements ont eu lieu, mais la rapidité avec laquelle ces outils illégaux ont pu être déployés dans Call of Duty: Black Ops 7 soulève de sérieuses questions sur l'efficacité des mesures préventives d'Activision. L'éditeur doit agir vite pour rassurer la communauté avant l'ouverture de la bêta à l'ensemble des joueurs.

 

 

Sécurité compromise : TPM 2.0 et Secure Boot ne suffisent pas

L'une des grandes promesses d'Activision pour Call of Duty: Black Ops 7 était un durcissement sans précédent des conditions de jeu sur PC pour lutter contre la triche. L'éditeur exige notamment que les joueurs sur ordinateur aient activé le module de plateforme sécurisée (TPM 2.0) et le démarrage sécurisé de Windows (Secure Boot) pour pouvoir lancer le jeu. Ces mesures, habituellement réservées aux logiciels nécessitant une sécurité maximale, étaient censées compliquer l'injection de logiciels de triche.

L'échec de ces verrous technologiques, à peine la bêta Black Ops 7 lancée, est un indicateur alarmant. La déception est palpable dans la communauté : si même ces exigences matérielles ne parviennent pas à endiguer le flux, quel système de sécurité pourra y parvenir à la sortie officielle ? L'analyse de ces premiers jours suggère que les développeurs de cheats ont trouvé des moyens de contourner ces protections avec une facilité déconcertante, un phénomène que l'on observe souvent, mais rarement avec une telle rapidité. C'est un signal fort pour l'équipe en charge de la sécurité : la bataille contre les tricheurs est loin d'être gagnée, même avec la technologie la plus avancée.

 

Les conséquences sur l'attente autour de Black Ops 7

Ce début difficile pour la bêta Black Ops 7 rappelle que l'enjeu majeur de la franchise Call of Duty n'est plus seulement le contenu, mais l'intégrité du jeu. L'ombre de la triche plane au-dessus de chaque nouveauté, menaçant de gâcher l'expérience des joueurs honnêtes. Ce premier accroc est une mise en garde sérieuse pour l'équipe de développement. Ils disposent désormais d'un délai extrêmement court, avant l'ouverture totale de la bêta Black Ops 7 le 5 octobre, pour démontrer leur capacité à stabiliser la situation et à restaurer la confiance de leur base. Faute de quoi, l'enthousiasme initial risque de se transformer en un désintérêt durable face à ce qui pourrait être un nouveau terrain de jeu pour les cheaters.

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Rédactrice en chef depuis 2018, Alias CassouGeek, experte en RPG.

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