Avec Blood & Guts, Techland dévoile un aperçu viscéral de Dying Light: The Beast, attendu le 19 septembre. Entre démembrements ultra-précis, finishers sadiques et gore réaliste, cette suite pousse la brutalité à un niveau jamais vu dans la franchise.
Dying Light: The Beast, plus brutal que jamais
La série Dying Light n’a jamais hésité à plonger dans l’horreur viscérale, mais The Beast franchit un nouveau cap. Dans sa dernière bande-annonce “Blood & Guts”, Techland exhibe un festival de violence graphique : décapitations nettes, os brisés, chairs déchirées et finishers ultra-violents. Une montée en puissance assumée, pensée comme un moteur de tension narrative et de ressenti psychologique fort.
Une brutalité au service de la narration viscérale
Pour Tymon Smektała, directeur de la franchise, cette surenchère de gore est avant tout une manière d’intensifier l’expérience : “Voir une barre de vie diminuer, c’est une chose.
Voir la chair se détacher de l’os, c’en est une autre.” Le tout est pensé pour incarner la rage et le besoin de vengeance de Kyle, protagoniste central de ce nouvel opus, dans un monde où survivre implique de tout détruire.
Des combats plus précis, des ennemis plus marqués
Techniquement, Dying Light: The Beast repose sur une refonte complète du système de dégâts. Nathan Lemaire, game director, explique que les ennemis disposent désormais de deux fois plus de “Gore-Nodes”, ces points d’impact permettant de varier blessures, mutilations et réactions.
Les angles, la force et la trajectoire des coups influencent directement les effets visibles sur les corps, donnant une sensation de précision jamais atteinte dans la série.
Le réalisme gore poussé à l’extrême grâce aux effets pratiques
La fidélité visuelle ne s’arrête pas aux animations. Pour coller au plus près du réel, Techland a mené des expérimentations avec du faux sang, des acteurs, et un souci du détail clinique.
“On a fabriqué nos propres éclaboussures pour obtenir le rendu exact que l’on voulait”, révèle Katarzyna Tarnacka-Polito. Quant à l’artiste personnage Dominik Wasieńko, il préfère ne pas reparler de son historique de recherches en ligne...
Un final à la hauteur : finishers triplés et combats spectaculaires
Chaque affrontement dans Dying Light: The Beast devient un spectacle sanglant. Grâce aux nouvelles animations, les finishers sont désormais trois fois plus nombreux.
Coups d’estoc, démembrements chorégraphiés, mises à mort au ralenti... Le jeu promet de faire grimper l’adrénaline à chaque instant, en multipliant les variations et la brutalité visuelle à outrance.
Le combat ultime pour la survie commence le 19 septembre
Techland place la barre très haut avec Dying Light: The Beast. À six semaines de sa sortie sur PC, PS5, PS5 Pro et Xbox Series X|S, le studio continue de peaufiner ce qui s’annonce comme l’expérience la plus brutale et immersive de la saga. Préparez-vous à faire face à la bête, dans un monde où chaque coup compte… et marque.